jeudi 31 mai 2007
Les Français font confiance a Nicolas Sarkozy
Selon un sondage opinion way lci le figaro les français pensent a 68% que Nicolas Sarkozy tiendra toutes ses promesses, les électeurs de Nicolas Sarkozy sont 98% a le penser.
Des propositions plébiscitées !!!
Selon un sondage Opinionway, les mesures fiscales favorisant l’achat de logements et la suppression des droits de succession sont les deux mesures que le gouvernement doit conduire en priorité.
La déduction des intérêts sur les emprunts immobiliers, priorité des Français ? Oui, selon notre vingtième baromètre Politoscopie Le Figaro-LCI-Opinionway. Une majorité de sondés (36%) citent cette mesure comme celle à conduire en premier par le nouveau gouvernement.
Dans l’ordre de priorité, les sondés mentionnent ensuite la suppression des droits de successions et de donations (35%). Vient ensuite l’interdiction des parachutes dorés (32%), largement adoubée par les sympathisants de gauche (55%).
Les propositions du gouvernement largement plébiscitées
Les mesures gouvernementales sont, dans leur très grande majorité, accueillies très favorablement par les sondés, qui citent massivement (92%) l’interdiction des parachutes dorés, puis la déduction des intérêts d’emprunts des impôts (88%), suivie de la non-imposition des revenus des étudiants qui travaillent (87%). Près de 82% des Français sont favorables à la suppression des droits de successions et de donations (70% chez les sympathisants de gauche, 91% chez les sympathisants de droite). Seule l’instauration d’une franchise médicale ne convainc que 33% des personnes interrogées.
Sur trois thèmes seulement, le clivage gauche-droite est très net : la suppression de la carte scolaire (32% des sympathisants de gauche y sont favorables, contre 81% à droite), le bouclier fiscal à 50% (28% à gauche contre 87% à droite) et le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite (35% à gauche contre 81% à droite).
Étude réalisée auprès d’un échantillon de 1056 individus, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées les 30 et 31 mai 2007.
La logique voudrait donc que les électeurs donnent a Nicolas Sarkozy une majorité pour mettre en oeuvre son programme, une large majorité permettra a Nicolas Sarkozy de faire ce qu'il a dit. Même l'électorat de gauche est favorable aux futures mesures économiques du gouvernement Fillon 2.
La déduction des intérêts sur les emprunts immobiliers, priorité des Français ? Oui, selon notre vingtième baromètre Politoscopie Le Figaro-LCI-Opinionway. Une majorité de sondés (36%) citent cette mesure comme celle à conduire en premier par le nouveau gouvernement.
Dans l’ordre de priorité, les sondés mentionnent ensuite la suppression des droits de successions et de donations (35%). Vient ensuite l’interdiction des parachutes dorés (32%), largement adoubée par les sympathisants de gauche (55%).
Les propositions du gouvernement largement plébiscitées
Les mesures gouvernementales sont, dans leur très grande majorité, accueillies très favorablement par les sondés, qui citent massivement (92%) l’interdiction des parachutes dorés, puis la déduction des intérêts d’emprunts des impôts (88%), suivie de la non-imposition des revenus des étudiants qui travaillent (87%). Près de 82% des Français sont favorables à la suppression des droits de successions et de donations (70% chez les sympathisants de gauche, 91% chez les sympathisants de droite). Seule l’instauration d’une franchise médicale ne convainc que 33% des personnes interrogées.
Sur trois thèmes seulement, le clivage gauche-droite est très net : la suppression de la carte scolaire (32% des sympathisants de gauche y sont favorables, contre 81% à droite), le bouclier fiscal à 50% (28% à gauche contre 87% à droite) et le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite (35% à gauche contre 81% à droite).
Étude réalisée auprès d’un échantillon de 1056 individus, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées les 30 et 31 mai 2007.
La logique voudrait donc que les électeurs donnent a Nicolas Sarkozy une majorité pour mettre en oeuvre son programme, une large majorité permettra a Nicolas Sarkozy de faire ce qu'il a dit. Même l'électorat de gauche est favorable aux futures mesures économiques du gouvernement Fillon 2.
Forte popularité pour notre tandem Sarkozy - Fillon
Selon le baromètre mensuel Sofres-Figaro Magazine, Nicolas Sarkozy commence son mandat avec une cote de popularité de 63%.
Effet de la rupture prônée par Nicolas Sarkozy ? Pour sa première apparition dans le baromètre Sofres-Figaro Magazine, le nouveau couple exécutif affiche de bons scores de popularité. Nicolas Sarkozy est apprécié de 63% des Français, soit le double de ce qu’obtenait en mai un Jacques Chirac en fin de mandat.
François Fillon, lui, affiche une cote de confiance de 55%, soit moins que Jean-Pierre Raffarin en 2002, mais 25 points de plus que Dominique de Villepin, qui a terminé son mandat à 30% de popularité.
Au baromètre des personnalités, François Fillon enregistre d’ailleurs un bond de 33 points, et se classe avec 60% en seconde position des personnalités préférées des Français, derrière le nouveau ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner (63%, +15). La plupart des nouveaux membres du gouvernement voient d’ailleurs leur popularité progresser, à l’instar de Michèle Alliot-Marie (+13) ou d’Alain Juppé (+12).
La négociation pour déminer les conflits sociaux
A gauche, Ségolène Royal reste en tête et stable à 52% de popularité (stable), suivie par Bertrand Delanoë (41%, +7) et Dominique Strauss-Kahn (40%, -1). François Hollande, en revanche, perd 4 points à 28%.
Nouvelles têtes de l’exécutif ou non, la priorité des Français reste la même : la lutte contre le chômage (47%). Suit la lutte contre la violence et la criminalité (17%). En revanche, pour la première fois depuis des mois, les Français sont plus nombreux à penser que les conflits sociaux pourront être résolus par la négociation (50%) plutôt qu’entraîner des affrontements (43%).
Effet de la rupture prônée par Nicolas Sarkozy ? Pour sa première apparition dans le baromètre Sofres-Figaro Magazine, le nouveau couple exécutif affiche de bons scores de popularité. Nicolas Sarkozy est apprécié de 63% des Français, soit le double de ce qu’obtenait en mai un Jacques Chirac en fin de mandat.
François Fillon, lui, affiche une cote de confiance de 55%, soit moins que Jean-Pierre Raffarin en 2002, mais 25 points de plus que Dominique de Villepin, qui a terminé son mandat à 30% de popularité.
Au baromètre des personnalités, François Fillon enregistre d’ailleurs un bond de 33 points, et se classe avec 60% en seconde position des personnalités préférées des Français, derrière le nouveau ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner (63%, +15). La plupart des nouveaux membres du gouvernement voient d’ailleurs leur popularité progresser, à l’instar de Michèle Alliot-Marie (+13) ou d’Alain Juppé (+12).
La négociation pour déminer les conflits sociaux
A gauche, Ségolène Royal reste en tête et stable à 52% de popularité (stable), suivie par Bertrand Delanoë (41%, +7) et Dominique Strauss-Kahn (40%, -1). François Hollande, en revanche, perd 4 points à 28%.
Nouvelles têtes de l’exécutif ou non, la priorité des Français reste la même : la lutte contre le chômage (47%). Suit la lutte contre la violence et la criminalité (17%). En revanche, pour la première fois depuis des mois, les Français sont plus nombreux à penser que les conflits sociaux pourront être résolus par la négociation (50%) plutôt qu’entraîner des affrontements (43%).
Les jeunes plus que jamais sur le terrain
Bien que bénéficiant de sondage plus que favorable, les jeunes restent mobilisés derrière Muriel Marland Militello et son suppléant Auguste Vérola. Notre tractage précéda une réunion publique de notre député a l'hôtel splendid, ou notre député aborda des thèmes comme nationaux comme locaux avec un grand succès (la salle était pleine).
De gauche à droite : Romain, Cyril, Jonathan, Marina, Auguste Vérola, Camille, Gauthier, Armand, Johann, Greg, Elodie, Sara. Certains militants n'apparaissent pas sur la photo mais nous ont rejoint à la réunion publique, les jeunes militants se mobilisent en masse même les jours de semaine les deux derniers meeting en sont la preuve.
mercredi 30 mai 2007
Une chambre bleu horizon en vue
Au premier tour des élections législatives, l'UMP recueillerait 41% (+ 4 par rapport l'enquête réalisée les 10 et 11 mai), et le Parti socialiste 27,5% ( -0,5), selon un sondage Ifop pour Paris Match.
Le Mouvement démocrate de François Bayrou est crédité de 12% (-2), le Front national de 6% (-1), les Verts de 4%, chiffre stable, le PCF de 3,5% (-0,5), et l'extrême gauche de 2% (-1), précise cette enquête.
Compte-tenu de ces rapports de force politiques très favorables à la majorité présidentielle, l'UMP obtiendrait la majorité absolue dans la prochaine Assemblée nationale, avec 410 à 450 sièges, contre 90 à 130 au Parti socialiste.
Le Parti communiste obtiendrait de 6 à 10 sièges, le MoDem entre 0 et 6, les Verts entre 0 et 2, le Mouvement pour le France de Philippe de Villiers 2 et le Front national aucun.
Le Mouvement démocrate de François Bayrou est crédité de 12% (-2), le Front national de 6% (-1), les Verts de 4%, chiffre stable, le PCF de 3,5% (-0,5), et l'extrême gauche de 2% (-1), précise cette enquête.
Compte-tenu de ces rapports de force politiques très favorables à la majorité présidentielle, l'UMP obtiendrait la majorité absolue dans la prochaine Assemblée nationale, avec 410 à 450 sièges, contre 90 à 130 au Parti socialiste.
Le Parti communiste obtiendrait de 6 à 10 sièges, le MoDem entre 0 et 6, les Verts entre 0 et 2, le Mouvement pour le France de Philippe de Villiers 2 et le Front national aucun.
Cette étude a été réalisée auprès d'un échantillon de 931 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Selon une enquête TNS-Sofres-Unilog pour « Le Figaro », RTL et LCI, l'UMP écraserait la gauche aux élections législatives.
VERRA-T-ON une immense vague bleue les 10 et 17 juin ? Avec 42 % des voixet une projection en sièges comprise entre 410 et 430 députés UMP, Nicolas Sarkozy et François Fillon sont bien partis pour gagner leur pari. Sans atteindre le score historique de 1993 (472 députés de droite avaient été élus), le chef de l'État et son premier ministre se retrouveraient, dans cette configuration, avec une chambre « bleu horizon ».
Selon notre baromètre des législatives TNS-Sofres-Unilog, groupe Logica-CMG, le président de la République obtiendrait une très large majorité à l'Assemblée nationale. Plus qu'une confirmation de sa victoire à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy verrait ainsi valider par les Français sa stratégie « d'ouverture ».
Signe du désarroi que provoque « l'ouverture » chez les électeurs de gauche : c'est chez eux que la démobilisation est la plus forte. La baisse de l'intérêt pour ces élections des 10 et 17 juin est particulièrement sensible chez les électeurs de l'opposition. Tout se passe comme si une partie des sympathisants socialistes avait déjà intériorisé la défaite. Manifestement, l'entrée dans le gouvernement Fillon de personnalités de gauche - à commencer par le très médiatique Bernard Kouchner - a semé le trouble chez les sympathisants socialistes et leurs alliés. Plus globalement, les Français n'ont pas envie de refaire le match de la présidentielle. Comme en 2002 après la réélection de Jacques Chirac, ces élections législatives fonctionnent comme une élection confirmation. À l'époque, 365 députés UMP avaient été élus.
Une confirmation qui prend, selon notre sondage, des allures de raz de marée. La poussée en faveur de l'UMP s'effectue au détriment du MoDem de François Bayrou. La faible notoriété des candidats bayrouistes, qui, pour un grand nombre d'entre eux, se présentent pour la première fois, semble un handicap. Dans cette enquête, on a recueilli les intentions de vote en soumettant aux Français interrogés la liste des candidatures définitives (avec nom des candidats) dans chaque circonscription. Résultat : le MoDem tombe à 10 % et à une fourchette de deux à six élus.
Privé de groupe parlementaire à l'Assemblée, François Bayrou pourrait assister parallèlement à la naissance d'un groupe de dissidents UDF ralliés à Nicolas Sarkozy. Selon les projections, le Nouveau Centre (Parti social libéral et européen) fondé par Hervé Morin obtiendrait de 20 à 22 élus. Une humiliation supplémentaire pour le troisième homme de la présidentielle.
Au PS, on espère un sursaut À gauche, le PS est crédité de 27 %. Un score supérieur à celui de Ségolène Royal au premier tour. Mais la projection se situe entre 101 et 142 sièges, donc légèrement au-dessous du groupe PS sortant, qui compte 149 députés et apparentés. Quelques figures socialistes ont donc du souci à se faire : Arnaud Montebourg (Saône-et-Loire), Jean-Louis Bianco (Alpes-de-Haute-Provence), André Vallini (Isère), Christiane Taubira (Guyane) voire Jack Lang dans le Pas-de-Calais. Au siège du PS, on espère un sursaut. Ségolène Royal est arrivée en tête dans 200 circonscriptions. « On travaille à partir de cette base pour maintenir le même nombre de députés », fait-on valoir au PS.
Reste une autre confirmation : la dégringolade du Front national. Avec 4 % d'intentions de vote, le parti de Jean-Marie Le Pen se remarginalise. Il revient à son étiage du début des années 1980.
Signe du désarroi que provoque « l'ouverture » chez les électeurs de gauche : c'est chez eux que la démobilisation est la plus forte. La baisse de l'intérêt pour ces élections des 10 et 17 juin est particulièrement sensible chez les électeurs de l'opposition. Tout se passe comme si une partie des sympathisants socialistes avait déjà intériorisé la défaite. Manifestement, l'entrée dans le gouvernement Fillon de personnalités de gauche - à commencer par le très médiatique Bernard Kouchner - a semé le trouble chez les sympathisants socialistes et leurs alliés. Plus globalement, les Français n'ont pas envie de refaire le match de la présidentielle. Comme en 2002 après la réélection de Jacques Chirac, ces élections législatives fonctionnent comme une élection confirmation. À l'époque, 365 députés UMP avaient été élus.
Une confirmation qui prend, selon notre sondage, des allures de raz de marée. La poussée en faveur de l'UMP s'effectue au détriment du MoDem de François Bayrou. La faible notoriété des candidats bayrouistes, qui, pour un grand nombre d'entre eux, se présentent pour la première fois, semble un handicap. Dans cette enquête, on a recueilli les intentions de vote en soumettant aux Français interrogés la liste des candidatures définitives (avec nom des candidats) dans chaque circonscription. Résultat : le MoDem tombe à 10 % et à une fourchette de deux à six élus.
Privé de groupe parlementaire à l'Assemblée, François Bayrou pourrait assister parallèlement à la naissance d'un groupe de dissidents UDF ralliés à Nicolas Sarkozy. Selon les projections, le Nouveau Centre (Parti social libéral et européen) fondé par Hervé Morin obtiendrait de 20 à 22 élus. Une humiliation supplémentaire pour le troisième homme de la présidentielle.
Au PS, on espère un sursaut À gauche, le PS est crédité de 27 %. Un score supérieur à celui de Ségolène Royal au premier tour. Mais la projection se situe entre 101 et 142 sièges, donc légèrement au-dessous du groupe PS sortant, qui compte 149 députés et apparentés. Quelques figures socialistes ont donc du souci à se faire : Arnaud Montebourg (Saône-et-Loire), Jean-Louis Bianco (Alpes-de-Haute-Provence), André Vallini (Isère), Christiane Taubira (Guyane) voire Jack Lang dans le Pas-de-Calais. Au siège du PS, on espère un sursaut. Ségolène Royal est arrivée en tête dans 200 circonscriptions. « On travaille à partir de cette base pour maintenir le même nombre de députés », fait-on valoir au PS.
Reste une autre confirmation : la dégringolade du Front national. Avec 4 % d'intentions de vote, le parti de Jean-Marie Le Pen se remarginalise. Il revient à son étiage du début des années 1980.
mardi 29 mai 2007
Notre Président en campagne
François Fillon à Nice
Très bon discours du Premier ministre qui confirma que tout ce que Nicolas Sarkozy a dit il le fera. Au cours du discours notre député Muriel Marland Militello reçu les acclamations de tous les jeunes militants. En outre François Fillon confirme le vote du service minimum pour Juillet ainsi affirme ce que confirmera plus tard au Havre le Président c'est a dire la rétroactivité de la défiscalisation de l'intérêt d'un emprunt
samedi 26 mai 2007
Les français adhérent déja...
Nicolas Sarkozy enregistre une cote de popularité de 65% et seul le général de Gaulle a fait mieux lors de son arrivée à l'Elysée, il y a près de 50 ans, selon un sondage Ifop que publie Le Journal du Dimanche.
Le nouveau chef de l'Etat, qui a pris ses fonctions le 16 mai, obtient une cote de satisfaction de 65% (23% très satisfaits, 42% plutôt satisfaits) auprès des personnes interrogées dans cette enquête réalisée du 18 au 26 mai.
En juillet-août 1958, après son retour au pouvoir, Charles de Gaulle avait obtenu 67%, et 61% en janvier 1966 après sa première élection au suffrage universel pour un second mandat.
Les autres présidents de la Ve République ont lors de leur arrivée à l'Elysée et dans l'ordre chronologique obtenu les cotes de popularité suivantes : Georges Pompidou 54%, Valéry Giscard d'Estaing 44%, François Mitterrand 54% (à la fois en 1981 et 1988), Jacques Chirac 59% en 1995 et 51% en 2002.
Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
François Fillon enregistre une cote de popularité de 62%, selon un sondage Ifop que publie Le Journal du Dimanche, et seul Alain Juppé a fait mieux en tant que nouveau Premier ministre de la Ve République, en 1995.
Le nouveau chef du gouvernement obtient un score de popularité inférieur d'un point à celui il y a douze ans d'Alain Juppé (63%), aujourd'hui numéro deux du gouvernement au poste de ministre d'Etat chargé de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables.
François Fillon est, d'après cette enquête réalisée du 18 au 26 mai auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, nettement plus populaire au même stade que son prédécesseur, Dominique de Villepin, qui avait obtenu 44% d'approbation il y a deux ans.
A titre de comparaison, le prédécesseur de ce dernier, Jean-Pierre Raffarin, avait eu un score de 60%, le socialiste Lionel Jospin, en 1997, 47% et Pierre Mauroy, premier chef de gouvernement du président François Mitterrand en 1981, 53%.
Le nouveau chef de l'Etat, qui a pris ses fonctions le 16 mai, obtient une cote de satisfaction de 65% (23% très satisfaits, 42% plutôt satisfaits) auprès des personnes interrogées dans cette enquête réalisée du 18 au 26 mai.
En juillet-août 1958, après son retour au pouvoir, Charles de Gaulle avait obtenu 67%, et 61% en janvier 1966 après sa première élection au suffrage universel pour un second mandat.
Les autres présidents de la Ve République ont lors de leur arrivée à l'Elysée et dans l'ordre chronologique obtenu les cotes de popularité suivantes : Georges Pompidou 54%, Valéry Giscard d'Estaing 44%, François Mitterrand 54% (à la fois en 1981 et 1988), Jacques Chirac 59% en 1995 et 51% en 2002.
Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
François Fillon enregistre une cote de popularité de 62%, selon un sondage Ifop que publie Le Journal du Dimanche, et seul Alain Juppé a fait mieux en tant que nouveau Premier ministre de la Ve République, en 1995.
Le nouveau chef du gouvernement obtient un score de popularité inférieur d'un point à celui il y a douze ans d'Alain Juppé (63%), aujourd'hui numéro deux du gouvernement au poste de ministre d'Etat chargé de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables.
François Fillon est, d'après cette enquête réalisée du 18 au 26 mai auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, nettement plus populaire au même stade que son prédécesseur, Dominique de Villepin, qui avait obtenu 44% d'approbation il y a deux ans.
A titre de comparaison, le prédécesseur de ce dernier, Jean-Pierre Raffarin, avait eu un score de 60%, le socialiste Lionel Jospin, en 1997, 47% et Pierre Mauroy, premier chef de gouvernement du président François Mitterrand en 1981, 53%.
vendredi 25 mai 2007
François Fillon à Nice
jeudi 24 mai 2007
Sondage TNS-SOFRES-UNILOG
Un sondage TNS-Sofres-Unilog pour LCI, RTL et Le Figaro révèle que l'UMP remporterait au 1er tour, le 10 juin, 40% des voix. Le PS est quant à lui crédité de 28% des intentions de vote et le "Modem" de François Bayrou de 15% de voix. Le Front national chute à 3,5% des suffrages.
Autre chiffre : 60% des sondés approuvent la nomination de François Fillon au poste de Premier ministre et à 61% la composition de son gouvernement. Quant à l'ouverture du gouvernement, demandée par Nicolas Sarkozy, elle est plus qu'appréciée : 72% des Français et même 63% des électeurs de gauche approuvent ainsi l'arrivée de Bernard Kouchner au Quai d'Orsay. Pour Jean Louis Borloo et Rachida Dati, on est aussi au-dessus des 70% de satisfaits. 55% des sondés sont satisfaits de voir Alain Juppé au gouevrnement.
Autre chiffre : 60% des sondés approuvent la nomination de François Fillon au poste de Premier ministre et à 61% la composition de son gouvernement. Quant à l'ouverture du gouvernement, demandée par Nicolas Sarkozy, elle est plus qu'appréciée : 72% des Français et même 63% des électeurs de gauche approuvent ainsi l'arrivée de Bernard Kouchner au Quai d'Orsay. Pour Jean Louis Borloo et Rachida Dati, on est aussi au-dessus des 70% de satisfaits. 55% des sondés sont satisfaits de voir Alain Juppé au gouevrnement.
La 2ème circonscription clairement a droite.
Sondage Opinion Way pour LCI Le figaro
- 60 % des Français veulent une majorité ump a l'assemblée nationale.
- 70 % des Français aiment le "style Sarkozy". Ils estiment que la manière dont Nicolas Sarkozy exerce sa fonction de président de la République correspond bien a leurs attentes, 34 % des électeurs de Ségoléne Royal au second tour ont le même avis.
- 67 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy a raison de vouloir mener "toutes les réformes en meme temps car il n'y a pas de temps a perdre"
- 53 % des Français estiment que la manière dont le nouveau président de la République exerce sa fonction est "très différente" de celle de ses prédécesseurs et 33 % "assez différente".
- 91 % des Français jugent Nicolas Sarkozy dynamique.
- 85 % le jugent moderne.
- 75 % décontracté.
Le sondage a été réalisé les 23 et 24 mai auprès d'un échantillon de 997 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
- 70 % des Français aiment le "style Sarkozy". Ils estiment que la manière dont Nicolas Sarkozy exerce sa fonction de président de la République correspond bien a leurs attentes, 34 % des électeurs de Ségoléne Royal au second tour ont le même avis.
- 67 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy a raison de vouloir mener "toutes les réformes en meme temps car il n'y a pas de temps a perdre"
- 53 % des Français estiment que la manière dont le nouveau président de la République exerce sa fonction est "très différente" de celle de ses prédécesseurs et 33 % "assez différente".
- 91 % des Français jugent Nicolas Sarkozy dynamique.
- 85 % le jugent moderne.
- 75 % décontracté.
Le sondage a été réalisé les 23 et 24 mai auprès d'un échantillon de 997 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
A en croire les médias Nicolas Sarkozy ne profite pas d'un état de grâce, enfin un président a 65 % de cote de popularité a seulement 2 points du générale de Gaulle c'est quand même pas mal
Les jeunes sont la au quotidien
mardi 22 mai 2007
Pour une majorité forte
Pour que Nicolas Sarkozy puisse mettre en place sa politique nous nous devons de lui donner une majorité forte. Votez Marland, Votez UMP.
Conformément à l'article 8 de la Constitution, le Président de la République a nommé, sur la proposition du Premier ministre :
M. Alain JUPPÉ, ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables ;
M. Jean-Louis BORLOO, ministre de l'économie, des finances et de l'emploi ;
Mme Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales ;
M. Bernard KOUCHNER, ministre des affaires étrangères et européennes ;
M. Brice HORTEFEUX, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du codéveloppement ;
Mme Rachida DATI, garde des sceaux, ministre de la justice ;
M. Xavier BERTRAND, ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité ;
M. Xavier DARCOS, ministre de l'éducation nationale ;
Mme Valérie PÉCRESSE, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ;
M. Hervé MORIN, ministre de la défense ;
Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la santé, de la jeunesse et des sports ;
Mme Christine BOUTIN, ministre du logement et de la ville ;
Mme Christine LAGARDE, ministre de l'agriculture et de la pêche ;
Mme Christine ALBANEL, ministre de la culture et de la communication, porte-parole du Gouvernement ;
M. Eric WOERTH, ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique ;
M. Roger KAROUTCHI, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
M. Eric BESSON, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques ;
M. Dominique BUSSEREAU, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables, chargé des transports ;
M. Jean-Pierre JOUYET, secrétaire d'Etat auprès du ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
M. Martin HIRSCH, haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté.
Lancement de campagne
Muriel Marland Militello opta pour Pasteur pour sa première réunion publique, la 2ème circonscription c'est aussi des quartiers populaires, Sans langue de bois notre député aborda l'immigration et la sécurité mais aussi la santé et la jeunesse en général. Notre député a rencontré un réel succès auprès des jeunes. Les quartiers populaires oubliés a gauche ne le sont pas par nous.
Pique nique lors de la fête des Mai
La France qui se lève tot !!!
Dés 6h nous étions sur le terrain, collage puis tractage au programme, avec une mobilisation et une motivation égale a la présidentielle, les jeunes savent bien que cette campagne est cruciale.
Bravo à Romain, Greg, Johann, Karine, Sophie, Camille, Marina, Vivien, Mourad, Sara, Elodie, Cyril, Alexis, Nicolas, Armand, Cedric, Cindy, Karine, Yann, Samantha pour votre mobilisation.
Après un café c'est reparti pour le tractage dans le quartier de la libération. Quartier ou grâce a sa ténacité notre député a obtenu par Nicolas Sarkozy la budgétisation d'un commissariat.
Bravo à Romain, Greg, Johann, Karine, Sophie, Camille, Marina, Vivien, Mourad, Sara, Elodie, Cyril, Alexis, Nicolas, Armand, Cedric, Cindy, Karine, Yann, Samantha pour votre mobilisation.
Après un café c'est reparti pour le tractage dans le quartier de la libération. Quartier ou grâce a sa ténacité notre député a obtenu par Nicolas Sarkozy la budgétisation d'un commissariat.
Notre tractage se termine à la place du Général De Gaulle ou nous croisons la candidate de l'opposition, avec seulement deux militants et pas l'ombre d'un jeune (sic!!!). Nous étions plus d'une vingtaine. Cela fait plaisir de constater que la dynamique de victoire est bien présente dans notre camp, tout autant que la dynamique de défaite dans l'opposition.
Les jeunes avec Muriel
De gauche à droite : Romain, Johann, Gauthier, Muriel Marland Militello,Vivien, Greg et Jonathan ..
Avant notre départ pour Marseille pour suivre notre futur président, longue journée mais nous avions le sentiment que la victoire n'avais jamais été aussi proche. Sans une majorité notre victoire n'aura servi a rien, votez muriel pour une majorité présidentielle.
De gauche à droite : Alexis, Nicolas, Sara (toujours présente sur le terrain), Sylvie, Auguste, Johann, Marina, Camille, Romain.
Ce jour la nous avions la chance de tracter sur la promenade des anglais, nous étions a 72H de la victoire....
Notre député au coeur de Nice
L'affiche officielle de notre député.
L'affiche officielle de votre député Muriel Marland Militello qui se représente a la députation et de son suppléant Auguste Vérola.
Avec le nouveau slogan "Agir ensemble" qui symbolise la volonté d'action de notre député.
Voici les dates, horaires et lieux de nos réunions publiques dans la 2ème circonscription :
Lundi 21 mai - 18h30
Ecole élémentaire Pasteur mixte - 15, rue du Professeur Delvalle
Mardi 22 mai - 18h30
Ecole Thérèse Roméo Mixte I - 54, rue Dabray
Mercredi 23 mai - 17h
CSL Notre Dame - 18, rue d'Angleterre
Mercredi 30 mai - 18h30
Meeting à l'Hôtel Splendid - boulevard Victor Hugo
Jeudi 31 mai - 18h30
Ecole St Barthelemy mixte I - 17, avenue François Botteau
Vendredi 1er juin - 18h30
Ecole Fuon Cauda mixte II - 78, avenue St Lambert
Lundi 4 juin - 18h30
Restaurant "L'autobus" - 142, avenue de Gairaut
Mardi 5 juin - 18h30
Meeting au restaurant "Les Palmiers" - 1, avenue des Palmiers
Mecredi 6 juin - 18h30
Grand meeting au Théâtre de Verdure de Christian Estrosi, Muriel Marland-Militello et Eric Ciotti
Jeudi 7 juin - 18h30
Ecole Jules Ferry mixte I - 1, rue Jeanne Jugan
Vendredi 8 juin - 18h30
Bar-Tabac "Le Bergerac" - 25, avenue St Sylvestre
Mardi 12 juin - 18h30
Meeting "Chez Onnis" - 15, avenue Joseph Raybaud
Mercredi 13 juin - 18h30
Pub Valrose - 112, avenue St Lambert
Jeudi 14 juin - 18h30
Dernier grand meeting au CEDAC de Cimiez
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