lundi 11 juin 2007

Bravo a Nous

Sans faire d'autosatisfaction, il faut se féliciter de la réélection de Muriel Marland Militello au premier tour, et il faut reconnaître que les jeunes de la 2ème circonscription et au delà ne sont pas étrangers a un tel résultat, avec des collages des (5-6h), suivis de tractage, puis de réunions publiques, les jeunes n'ont pas comptés les heures, malgré la proximité des examens, malgré leurs propres vies personnelles, ils furent sur le terrain avec le fameux polo bleu, certains comme Johann (sur le terrain et sur le web depuis 2 ans et le fameux cpe), Jonathan (venant de Grasse tous les jours), Elodie (venant de St martin du var tous les jours), Armand, Camille, et Greg furent la a 5-6h alors qu'il n'y avait pas l'ombre d'un journaliste, qui furent encore la lors de la 4eme réunion publique de la semaine (lors de ces réunions sans premier ministre, sans caméras).

54,28%

Un seul tour aura été suffisant avec plus de 20% de plus qu'il y a 5 ans Muriel Marland Militello est réelue avec un score aussi large (la candidate socialiste atteint péniblement les 20%) MMM assure pour les 5 ans a venir les interets de notre circonscription seront défendus au niveau national. Rudy Salles, Jean Leonetti, Christian Estrosi, Michele Tabarot, Lionel Luca tous élus au premier tour. Bernard Brochand et Eric Ciotti suivront certainement au second.

jeudi 7 juin 2007

Nicolas Sarkozy : "J'ai besoin d'une majorité large pour réformer en profondeur"


Dans sa première interview depuis son élection, le chef de l'État réaffirme en exclusivité pour Le Figaro sa volonté de mettre en oeuvre son projet fondé sur "la franchise et la vérité" dès le lendemain du scrutin des 10 et 17 juin.

LE FIGARO - Quels enseignements tirez-vous de ce premier mois à l'Elysée ?
Nicolas Sarkozy.- J'ai essayé de mettre à profit ce mois pour que - si les Français me donnent une majorité à l'Assemblée nationale - mon gouvernement puisse se mettre au travail dès le lendemain des législatives. J'ai été élu sur un projet fort, cohérent, basé sur la franchise et la vérité. Mon devoir c'est de mettre en oeuvre ce projet. J'ai eu l'occasion de dire qu'en matière économique et fiscale, je ne laisserai personne le dénaturer. Je veux dire, avec la même force, pour que cela soit bien compris de tout le monde qu'il en ira de même avec mon engagement en faveur d'une République irréprochable et d'une démocratie exemplaire.
Vous faites allusion à votre proposition de réserver la présidence de la commission des finances à l'opposition...
Notamment. Je comprends parfaitement que cet engagement, que j'ai pris devant les Français, puisse bousculer certaines traditions et peut être gêner des ambitions, mais tout cela a bien peu d'importance au regard de l'enjeu. Mon devoir de président c'est de rassembler une majorité et le devoir de la majorité c'est de s'ouvrir. Si la majorité ne s'ouvre pas, elle se condamne. Le président de la République ne peut être l'homme d'un parti ou d'un clan. Cet engagement sera donc tenu dès le lendemain des élections législatives. Mais j'irai plus loin.
Comment?
Je pense à la place qui doit être faite au développement durable. Je pense au rôle du Conseil économique et social, aux méthodes de travail du Parlement. Je pense aux droits de l'opposition qui doit enfin avoir un statut. Je pense à l'encadrement des nominations, à l'évaluation de tous les responsables sur leurs résultats. Je crois à cette politique. Je la mènerai. Je suis heureux d'avoir dans mon gouvernement des hommes de la qualité de Bernard Kouchner, de Jean-Pierre Jouyet, d'Eric Besson et Martin Hirsch. Ils ont été courageux. Si l'opportunité se présente, je proposerai à d'autres personnalités de gauche et du centre de nous rejoindre. Avec l'ouverture, je n'ai pas voulu faire un «coup». Je veux réformer en profondeur notre pays pour le moderniser. Parce que les changements seront forts, j'ai besoin d'une majorité large.
Cela devrait être le cas, si l'on en croit les sondages...
Rien n'est gagné. Rien n'est joué. L’heure n’est certes pas à la répartition de postes qui ne sont pas encore conquis. J'engage tous les responsables de la majorité à se battre jusqu'à la dernière minute, comme je l'ai fait moi-même, avant le premier tour et le second tour.
En demandant une large majorité, ne donnez-vous pas des arguments à ceux qui vous reprochent de «vouloir tous les pouvoirs»?
Ceux qui disent cela sont ceux qui se sont battus au côté de François Mitterrand pour lui donner la majorité que l'on sait! «Tous les pouvoirs», cela ne les gênait pas quand c'était pour la gauche! Qu'est ce que cela veut dire quand vingt régions sur vingt-deux sont à gauche, quand plus de la moitié des départements sont à gauche, quand tant de communes sont à gauche? Je n'essaie pas de savoir si la majorité sera trop grande ou trop petite. Je me bats pour obtenir le soutien parlementaire qui me permettra de mettre en oeuvre le projet ratifié par les Français. Je me bats pour avoir une majorité qui m’aide à appliquer le mandat qui m’a été confié.
Réformerez-vous le mode de scrutin des législatives ?
Je recevrai après l'élection toutes les formations politiques représentées à l'Assemblée, au Sénat et au Parlement européen...
Y compris le Front national ?
Au nom de quoi l'écarterais-je, dès lors qu'il a des élus? J'écouterai les propositions de chacun. Si un consensus se dégage en faveur d'une dose minoritaire de proportionnelle, nous en discuterons. Je ne suis pas fermé.
Allez-vous procéder à un remaniement après les législatives ?
Des secrétaires d'Etat feront leur entrée. Je précise tout de suite qu'ils seront nommés en petit nombre : on ne doublera pas, loin de là, la taille du gouvernement! J'ajoute qu'ils devront répondre à des critères de diversité à la fois par leurs origines territoriales, leurs origines politique et être représentatifs de la France multiple. Par ailleurs, la parité est un objectif auquel je ne renoncerai pas.
Comment définiriez-vous votre relation avec François Fillon ?
Je voudrais rendre hommage à son action. Il fait un excellent travail et j'ai avec lui une relation très confiante et très amicale. Nous avons construit le projet ensemble, nous le mettons en oeuvre ensemble. Nous sommes complémentaires. Nos montres marquent la même heure. En un mois, je n'ai pas eu un cas de désaccord entre nous.
Des frictions sont tout de même apparues lorsque le ministre du Budget a évoqué la question de la déduction des intérêts d'emprunt ou la «pause» dans la lutte contre les déficits ...
Sur ce dernier point, je ne laisserai dire à personne que nous ne tiendrons pas nos engagements européens en matière de maîtrise des dépenses publiques. Je n'ai jamais employé le mot «pause». La France a pris des engagements, elle les respectera. Pour réduire les déficits, il faut réduire les dépenses et augmenter les recettes. Je suis engagé dans un projet de revalorisation du travail. J'affirme que cette politique nous permettra de gagner la croissance qui nous manque. Mais cette démarche n'est pas exclusive d'économies. Je confirme la règle du non-renouvellement d'un fonctionnaire sur deux dès le budget 2008. Je confirme que nous réformerons les régimes spéciaux en 2008. Je confirme aussi qu'il nous faudra trouver de nouvelles économies sur l'assurance maladie.
La session extraordinaire se prolongera-t-elle en août ?
Le mois de juillet sera consacré à l'action législative prioritaire. Le mois d'août, aux vacances. Dans l'immédiat, je veux faire passer un texte économique et financier très fort qui montrera la cohérence de notre politique
Ce ne sera pas un collectif budgétaire ?
Non. Un collectif budgétaire c'est ouvrir de nouvelles dépenses. Moi je veux créer les conditions d'une nouvelle stratégie économique.
Allez-vous bousculer les habitudes lors du 14 juillet ?
Le 14 juillet, j'inviterai un détachement militaire de chacun des vingt-six pays de l'Union européenne à défiler sur les Champs Elysées. Ce sera un beau symbole ! La garden-party sera consacrée aux victimes et plus largement à tous ceux qui ont traversé des épreuves. Seront aussi invités tous ceux qui ont fait un acte de bravoure. Le soir, nous organiserons au Champ de Mars un grand concert en l'honneur de la France et de l'Europe.
Et la traditionnelle interview présidentielle ?
Ce sera une conférence de presse, probablement un peu avant le 14 juillet.
Vous avez annoncé une loi contre les «parachutes dorés». Comment va-t-elle fonctionner ?
Le dispositif, très simple, consistera à lier l'existence de primes de départ - qui devront être votées par l'assemblée générale des actionnaires - à la performance du dirigeant remercié. Pas de performance, pas de prime.
Le président de la République soutient-il un candidat pour la présidence de l'Assemblée et celle du groupe UMP ?
Non. Mais le président de la République peut dire à ses amis: avant de vous concurrencer pour savoir qui présidera quoi, peut être serait-il plus judicieux de conquérir d’abord la majorité.
Que pensez-vous de la controverse entre Jean-Pierre Raffarin et Patrick Devedjian sur la gouvernance de l'UMP ?
Je ne suis plus président de l'UMP et je n'ai pas à avoir d'opinion sur le sujet. Il n'est pas absurde qu'une formation politique modifie son organisation dès lors que le président de la République est issu de ses rangs. Mais cette affaire de statuts n'intéresse pas les Français, ni le président de la République.
L'UMP est tout de même votre famille politique ?
C'est ma famille d'origine mais je ne suis plus président de l'UMP. Le président de la République ne peut pas être membre d'un parti politique. En même temps, mon devoir est de rester à l'écoute de ceux qui sont mes électeurs et qui doivent pouvoir me dire un certain nombre de choses.
Et la réforme de la carte judiciaire ?
La réforme de la carte judiciaire est indispensable et incontestable.
La justice de proximité ce n'est pas d'avoir un tribunal dans toutes les villes. C’est d’avoir une justice rapide et incontestable qui réponde aux vœux des justiciables. Il y a des départements où il y a trois tribunaux de grande instance, d'autres où il y a plusieurs cours d'appel. Depuis 1958, la carte judiciaire n'a pas évolué. La France, oui. Des discussions doivent s’ouvrir.
Vous vous étiez engagé à définir le rôle de votre épouse après votre élection, qu'en est-il ?
Nous en parlons beaucoup, elle et moi. Elle aura l'occasion d'exposer sa vision de son rôle d'ici peu, lorsque les choses seront définitivement calées.
Avez-vous eu un contact avec Jacques Chirac depuis son départ ?
Non.
Au conseil européen de juin, vous ne vous opposerez pas à l'adhésion de la Turquie à l'Union. Avez-vous changé d'avis ?
Ma priorité en Europe est d'obtenir le traité simplifié. Mais si je pose, en même temps, la question de la Turquie, il n'y aura pas de traité simplifié. Je n'ai pas changé d'avis: la Turquie n'a pas sa place en Europe. Mais le rendez-vous est en décembre, pas en juin. J'ai engagé des discussions avec le premier ministre turc, M. Erdogan, pour lui faire comprendre que ma position n'était en rien dirigée contre les Turcs mais qu'elle concernait la question essentielle des frontières de l'Europe. Après le Conseil européen de juin, je proposerai une stratégie qui permettra de trouver une voie pour ne pas casser l'Europe et, en même temps, ne plus continuer sur la stratégie de l'adhésion.
Où en est-on dans la négociation en vue d'un traité européen simplifié ?
Cela progresse parce que certains de nos partenaires ont compris que la France, en élisant un président de la République qui a eu le courage de s'engager sur une ratification parlementaire, apporte les clés pour sortir de la crise européenne. Reste à se mettre d'accord sur le contenu du traité simplifié. Cela ne peut pas être une Constitution dont les Français n'ont pas voulu. Il faut qu'il y ait de la substance: un président stable du Conseil européen, un ministre européen des Affaires étrangères, des domaines plus larges soumis à la majorité qualifiée et une référence aux droits fondamentaux. Aujourd'hui, personne ne dit plus que c'est impossible.
Qu'attendez vous du G-8 ?
Je souhaite un accord sur un objectif chiffré pour la réduction des gaz à effet de serre. On ne peut pas transiger là-dessus. Je suis un ami des États-Unis, un allié déterminé et un ami sans arrière pensées. Mais je leur dis: il faut faire un effort. La première puissance du monde ne peut pas s'exonérer de donner l'exemple sur la préservation des équilibres de notre planète. Le deuxième enjeu consiste à mobiliser davantage de richesses en faveur de l'Afrique. Qui ne voit qu'il y a lien entre les deux enjeux ? Au Darfour, des populations se sont déplacées à cause de la sécheresse et cela conduit à des affrontements barbares. Je veux porter une autre politique africaine qui consiste à parler franchement aux Africains. Je crois au droit à l'accès universel au traitement du Sida en 2010. Mais je veux parler un langage de vérité aux Africains : leurs problèmes ne viennent pas que de l'extérieur de l'Afrique.
Au Darfour, que faut-il faire ? Des couloirs humanitaires ? Des sanctions contre Khartoum ?
Il y a au Darfour deux cents camps de réfugiés sur un territoire grand comme la France. Et c'est la saison des pluies....
Mais on ne peut rester les bras croisés. Il faut d’urgence traiter les trois dimensions de cette tragédie : la sécurité avec l’envoi d’une force ONU-Union Africaine, la relance d’une négociation politique et, enfin, l’aide humanitaire sous toutes les formes possibles. J’en parlerai au G8 et à ma demande Bernard Kouchner se rendra sur place dans les prochains jours.
Comment abordez-vous votre rencontre avec Vladimir Poutine ?
Il est très important d'avoir de bonnes relations avec la Russie. C'est un grand peuple, une grande nation. Je n'ignore pas les difficultés de M. Poutine, ses problèmes et ses réussites. Je vais le voir avec beaucoup d'intérêt, pour l'écouter et pour le comprendre. Qu'est ce qui le motive ? La Russie est redevenue un grand pays du monde. Cela devrait la conduire à la sagesse et à la sérénité. Je dirai à M. Poutine que l'amitié c'est également la franchise. Il est franc quand il parle de son désaccord avec les Américains sur le système antimissile. Je ne prends pas cela comme inamical. Il ne doit donc pas juger inamicales les questions qui ont été posées sur les droits de l'homme, et sur l'économie de marché en Russie. Je vais le rencontrer avec la volonté qu'on se comprenne et que lui aussi accepte qu'on n'est pas forcément tous sur la même ligne.
Est-ce une bonne idée de déployer ce bouclier antimissile en Pologne et en République tchèque ? Pourquoi n'en a-t-on pas parlé entre Européens ?
Ce bouclier ne peut pas être efficient contre les missiles russes compte tenu justement de sa proximité. Il est peut-être agressif à l'endroit de la Russie politiquement mais il ne l'est pas militairement. Il eut mieux valu une concertation européenne, c'est certain. M. Poutine a raison de nous dire qu'il faut comprendre le sentiment national russe mais je lui demande de prolonger sa réflexion. Comprenons l'histoire de la Pologne, comprenons l'histoire de la République tchèque.
Le dossier d'Ingrid Betancourt avance. Avez-vous un espoir de dénouement rapide ?
Pas à ce jour. Je veux rendre hommage au président Uribe qui en libérant Rodrigo Granda a fait un geste dont je mesure qu'il n'était pas facile pour lui. La négociation est très difficile. Ce que nous avons fait était nécessaire mais n'est pas suffisant. D'autres discussions auront lieu. Je ne peux en dire plus. La priorité est d'avoir une preuve de vie d'Ingrid Betancourt. Ensuite nous pourrons prendre d'autres initiatives.

mardi 5 juin 2007

Meeting du 5 Juin au théâtre de verdure



Comme vous pouvez le constater les jeunes sont en nombre pour soutenir MMM.

Préparation du meeting du théâtre de Verdure


Tractage dans toute la ville pour que le meeting du théâtre de Verdure

jeudi 31 mai 2007

Les Français font confiance a Nicolas Sarkozy

Selon un sondage opinion way lci le figaro les français pensent a 68% que Nicolas Sarkozy tiendra toutes ses promesses, les électeurs de Nicolas Sarkozy sont 98% a le penser.

Des propositions plébiscitées !!!


Selon un sondage Opinionway, les mesures fiscales favorisant l’achat de logements et la suppression des droits de succession sont les deux mesures que le gouvernement doit conduire en priorité.

La déduction des intérêts sur les emprunts immobiliers, priorité des Français ? Oui, selon notre vingtième baromètre Politoscopie Le Figaro-LCI-Opinionway. Une majorité de sondés (36%) citent cette mesure comme celle à conduire en premier par le nouveau gouvernement.
Dans l’ordre de priorité, les sondés mentionnent ensuite la suppression des droits de successions et de donations (35%). Vient ensuite l’interdiction des parachutes dorés (32%), largement adoubée par les sympathisants de gauche (55%).
Les propositions du gouvernement largement plébiscitées
Les mesures gouvernementales sont, dans leur très grande majorité, accueillies très favorablement par les sondés, qui citent massivement (92%) l’interdiction des parachutes dorés, puis la déduction des intérêts d’emprunts des impôts (88%), suivie de la non-imposition des revenus des étudiants qui travaillent (87%). Près de 82% des Français sont favorables à la suppression des droits de successions et de donations (70% chez les sympathisants de gauche, 91% chez les sympathisants de droite). Seule l’instauration d’une franchise médicale ne convainc que 33% des personnes interrogées.
Sur trois thèmes seulement, le clivage gauche-droite est très net : la suppression de la carte scolaire (32% des sympathisants de gauche y sont favorables, contre 81% à droite), le bouclier fiscal à 50% (28% à gauche contre 87% à droite) et le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite (35% à gauche contre 81% à droite).

Étude réalisée auprès d’un échantillon de 1056 individus, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées les 30 et 31 mai 2007.

La logique voudrait donc que les électeurs donnent a Nicolas Sarkozy une majorité pour mettre en oeuvre son programme, une large majorité permettra a Nicolas Sarkozy de faire ce qu'il a dit. Même l'électorat de gauche est favorable aux futures mesures économiques du gouvernement Fillon 2.

Forte popularité pour notre tandem Sarkozy - Fillon


Selon le baromètre mensuel Sofres-Figaro Magazine, Nicolas Sarkozy commence son mandat avec une cote de popularité de 63%.

Effet de la rupture prônée par Nicolas Sarkozy ? Pour sa première apparition dans le baromètre Sofres-Figaro Magazine, le nouveau couple exécutif affiche de bons scores de popularité. Nicolas Sarkozy est apprécié de 63% des Français, soit le double de ce qu’obtenait en mai un Jacques Chirac en fin de mandat.
François Fillon, lui, affiche une cote de confiance de 55%, soit moins que Jean-Pierre Raffarin en 2002, mais 25 points de plus que Dominique de Villepin, qui a terminé son mandat à 30% de popularité.
Au baromètre des personnalités, François Fillon enregistre d’ailleurs un bond de 33 points, et se classe avec 60% en seconde position des personnalités préférées des Français, derrière le nouveau ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner (63%, +15). La plupart des nouveaux membres du gouvernement voient d’ailleurs leur popularité progresser, à l’instar de Michèle Alliot-Marie (+13) ou d’Alain Juppé (+12).
La négociation pour déminer les conflits sociaux
A gauche, Ségolène Royal reste en tête et stable à 52% de popularité (stable), suivie par Bertrand Delanoë (41%, +7) et Dominique Strauss-Kahn (40%, -1). François Hollande, en revanche, perd 4 points à 28%.
Nouvelles têtes de l’exécutif ou non, la priorité des Français reste la même : la lutte contre le chômage (47%). Suit la lutte contre la violence et la criminalité (17%). En revanche, pour la première fois depuis des mois, les Français sont plus nombreux à penser que les conflits sociaux pourront être résolus par la négociation (50%) plutôt qu’entraîner des affrontements (43%).

Les jeunes plus que jamais sur le terrain


Bien que bénéficiant de sondage plus que favorable, les jeunes restent mobilisés derrière Muriel Marland Militello et son suppléant Auguste Vérola. Notre tractage précéda une réunion publique de notre député a l'hôtel splendid, ou notre député aborda des thèmes comme nationaux comme locaux avec un grand succès (la salle était pleine).

De gauche à droite : Romain, Cyril, Jonathan, Marina, Auguste Vérola, Camille, Gauthier, Armand, Johann, Greg, Elodie, Sara. Certains militants n'apparaissent pas sur la photo mais nous ont rejoint à la réunion publique, les jeunes militants se mobilisent en masse même les jours de semaine les deux derniers meeting en sont la preuve.

mercredi 30 mai 2007

Une chambre bleu horizon en vue

Au premier tour des élections législatives, l'UMP recueillerait 41% (+ 4 par rapport l'enquête réalisée les 10 et 11 mai), et le Parti socialiste 27,5% ( -0,5), selon un sondage Ifop pour Paris Match.
Le Mouvement démocrate de François Bayrou est crédité de 12% (-2), le Front national de 6% (-1), les Verts de 4%, chiffre stable, le PCF de 3,5% (-0,5), et l'extrême gauche de 2% (-1), précise cette enquête.
Compte-tenu de ces rapports de force politiques très favorables à la majorité présidentielle, l'UMP obtiendrait la majorité absolue dans la prochaine Assemblée nationale, avec 410 à 450 sièges, contre 90 à 130 au Parti socialiste.
Le Parti communiste obtiendrait de 6 à 10 sièges, le MoDem entre 0 et 6, les Verts entre 0 et 2, le Mouvement pour le France de Philippe de Villiers 2 et le Front national aucun.

Cette étude a été réalisée auprès d'un échantillon de 931 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.










Selon une enquête TNS-Sofres-Unilog pour « Le Figaro », RTL et LCI, l'UMP écraserait la gauche aux élections législatives.
VERRA-T-ON une immense vague bleue les 10 et 17 juin ? Avec 42 % des voixet une projection en sièges comprise entre 410 et 430 députés UMP, Nicolas Sarkozy et François Fillon sont bien partis pour gagner leur pari. Sans atteindre le score historique de 1993 (472 députés de droite avaient été élus), le chef de l'État et son premier ministre se retrouveraient, dans cette configuration, avec une chambre « bleu horizon ».

Selon notre baromètre des législatives TNS-Sofres-Unilog, groupe Logica-CMG, le président de la République obtiendrait une très large majorité à l'Assemblée nationale. Plus qu'une confirmation de sa victoire à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy verrait ainsi valider par les Français sa stratégie « d'ouverture ».
Signe du désarroi que provoque « l'ouverture » chez les électeurs de gauche : c'est chez eux que la démobilisation est la plus forte. La baisse de l'intérêt pour ces élections des 10 et 17 juin est particulièrement sensible chez les électeurs de l'opposition. Tout se passe comme si une partie des sympathisants socialistes avait déjà intériorisé la défaite. Manifestement, l'entrée dans le gouvernement Fillon de personnalités de gauche - à commencer par le très médiatique Bernard Kouchner - a semé le trouble chez les sympathisants socialistes et leurs alliés. Plus globalement, les Français n'ont pas envie de refaire le match de la présidentielle. Comme en 2002 après la réélection de Jacques Chirac, ces élections législatives fonctionnent comme une élection confirmation. À l'époque, 365 députés UMP avaient été élus.
Une confirmation qui prend, selon notre sondage, des allures de raz de marée. La poussée en faveur de l'UMP s'effectue au détriment du MoDem de François Bayrou. La faible notoriété des candidats bayrouistes, qui, pour un grand nombre d'entre eux, se présentent pour la première fois, semble un handicap. Dans cette enquête, on a recueilli les intentions de vote en soumettant aux Français interrogés la liste des candidatures définitives (avec nom des candidats) dans chaque circonscription. Résultat : le MoDem tombe à 10 % et à une fourchette de deux à six élus.
Privé de groupe parlemen­taire à l'Assemblée, François Bayrou pourrait assister parallèlement à la naissance d'un groupe de dissidents UDF ralliés à Nicolas Sarkozy. Selon les projections, le Nouveau Centre (Parti social libéral et européen) fondé par Hervé Morin obtiendrait de 20 à 22 élus. Une humiliation supplémentaire pour le troisième homme de la présidentielle.
Au PS, on espère un sursaut À gauche, le PS est crédité de 27 %. Un score supérieur à celui de Ségolène Royal au premier tour. Mais la projection se situe entre 101 et 142 sièges, donc légèrement au-dessous du groupe PS sortant, qui compte 149 députés et apparentés. Quelques figures socialistes ont donc du souci à se faire : Arnaud Montebourg (Saône-et-Loire), Jean-Louis Bianco (Alpes-de-Haute-Provence), André Vallini (Isère), Christiane Taubira (Guyane) voire Jack Lang dans le Pas-de-Calais. Au siège du PS, on espère un sursaut. Ségo­lène Royal est arrivée en tête dans 200 circonscriptions. « On travaille à partir de cette base pour maintenir le même nombre de députés », fait-on valoir au PS.
Reste une autre confirmation : la dégringolade du Front national. Avec 4 % d'intentions de vote, le parti de Jean-Marie Le Pen se remarginalise. Il revient à son étiage du début des années 1980.



mardi 29 mai 2007

Notre Président en campagne


Lors de son seul meeting de campagne au Havre Nicolas Sarkozy demanda que nous lui donnons une majorité pour mettre en oeuvre son programme et a précisé les modalités de la défiscalisation de l'interet d'un pret (ce sera rétroactif ).


François Fillon à Nice





Très bon discours du Premier ministre qui confirma que tout ce que Nicolas Sarkozy a dit il le fera. Au cours du discours notre député Muriel Marland Militello reçu les acclamations de tous les jeunes militants. En outre François Fillon confirme le vote du service minimum pour Juillet ainsi affirme ce que confirmera plus tard au Havre le Président c'est a dire la rétroactivité de la défiscalisation de l'intérêt d'un emprunt


samedi 26 mai 2007

Les français adhérent déja...

Nicolas Sarkozy enregistre une cote de popularité de 65% et seul le général de Gaulle a fait mieux lors de son arrivée à l'Elysée, il y a près de 50 ans, selon un sondage Ifop que publie Le Journal du Dimanche.
Le nouveau chef de l'Etat, qui a pris ses fonctions le 16 mai, obtient une cote de satisfaction de 65% (23% très satisfaits, 42% plutôt satisfaits) auprès des personnes interrogées dans cette enquête réalisée du 18 au 26 mai.
En juillet-août 1958, après son retour au pouvoir, Charles de Gaulle avait obtenu 67%, et 61% en janvier 1966 après sa première élection au suffrage universel pour un second mandat.
Les autres présidents de la Ve République ont lors de leur arrivée à l'Elysée et dans l'ordre chronologique obtenu les cotes de popularité suivantes : Georges Pompidou 54%, Valéry Giscard d'Estaing 44%, François Mitterrand 54% (à la fois en 1981 et 1988), Jacques Chirac 59% en 1995 et 51% en 2002.
Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


François Fillon enregistre une cote de popularité de 62%, selon un sondage Ifop que publie Le Journal du Dimanche, et seul Alain Juppé a fait mieux en tant que nouveau Premier ministre de la Ve République, en 1995.
Le nouveau chef du gouvernement obtient un score de popularité inférieur d'un point à celui il y a douze ans d'Alain Juppé (63%), aujourd'hui numéro deux du gouvernement au poste de ministre d'Etat chargé de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables.
François Fillon est, d'après cette enquête réalisée du 18 au 26 mai auprès d'un échantillon de 1.922 personnes, nettement plus populaire au même stade que son prédécesseur, Dominique de Villepin, qui avait obtenu 44% d'approbation il y a deux ans.
A titre de comparaison, le prédécesseur de ce dernier, Jean-Pierre Raffarin, avait eu un score de 60%, le socialiste Lionel Jospin, en 1997, 47% et Pierre Mauroy, premier chef de gouvernement du président François Mitterrand en 1981, 53%.

vendredi 25 mai 2007

François Fillon à Nice


Le Premier Ministre, François FILLON, sera à Nice mardi 29 mai à 18h30 au théâtre de verdure pour un grand meeting de soutien à nos candidats aux législatives.

jeudi 24 mai 2007

Sondage TNS-SOFRES-UNILOG


Un sondage TNS-Sofres-Unilog pour LCI, RTL et Le Figaro révèle que l'UMP remporterait au 1er tour, le 10 juin, 40% des voix. Le PS est quant à lui crédité de 28% des intentions de vote et le "Modem" de François Bayrou de 15% de voix. Le Front national chute à 3,5% des suffrages.
Autre chiffre : 60% des sondés approuvent la nomination de François Fillon au poste de Premier ministre et à 61% la composition de son gouvernement. Quant à l'ouverture du gouvernement, demandée par Nicolas Sarkozy, elle est plus qu'appréciée : 72% des Français et même 63% des électeurs de gauche approuvent ainsi l'arrivée de Bernard Kouchner au Quai d'Orsay. Pour Jean Louis Borloo et Rachida Dati, on est aussi au-dessus des 70% de satisfaits. 55% des sondés sont satisfaits de voir Alain Juppé au gouevrnement.

La 2ème circonscription clairement a droite.


Avec 66.60 % au second tour dans notre circonscription, la 2 ème montre clairement sa volonté de changement, les électeurs doivent appuyés le vote de la présidentielle en votant Muriel Marland Militello afin d'offrir une majorité a Nicolas Sarkozy.

Sondage Opinion Way pour LCI Le figaro

- 60 % des Français veulent une majorité ump a l'assemblée nationale.
- 70 % des Français aiment le "style Sarkozy". Ils estiment que la manière dont Nicolas Sarkozy exerce sa fonction de président de la République correspond bien a leurs attentes, 34 % des électeurs de Ségoléne Royal au second tour ont le même avis.
- 67 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy a raison de vouloir mener "toutes les réformes en meme temps car il n'y a pas de temps a perdre"
- 53 % des Français estiment que la manière dont le nouveau président de la République exerce sa fonction est "très différente" de celle de ses prédécesseurs et 33 % "assez différente".
- 91 % des Français jugent Nicolas Sarkozy dynamique.
- 85 % le jugent moderne.
- 75 % décontracté.

Le sondage a été réalisé les 23 et 24 mai auprès d'un échantillon de 997 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.



A en croire les médias Nicolas Sarkozy ne profite pas d'un état de grâce, enfin un président a 65 % de cote de popularité a seulement 2 points du générale de Gaulle c'est quand même pas mal

Pour que nos intérêts soient defendus au niveau national



Avec la grande probabilité que la prochaine majorité soit ump, pour une meilleure prise en compte des intérêts de notre circonscription nous nous devons avoir un député ump , votez marland militello

Les jeunes sont la au quotidien


Malgré la proximité avec les examens les jeunes sont toujours la pour soutenir notre député, et notre pacte législatif.

Avant


Après


mardi 22 mai 2007

Authentique ! Tenace ! Dynamique !







Trois adjectifs qui définissent très bien notre député

Photo officielle de notre président


Photo classique avec tout de même une nouveauté le drapeau européen

Pour une majorité forte



Pour que Nicolas Sarkozy puisse mettre en place sa politique nous nous devons de lui donner une majorité forte. Votez Marland, Votez UMP.


Conformément à l'article 8 de la Constitution, le Président de la République a nommé, sur la proposition du Premier ministre :

M. Alain JUPPÉ, ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables ;
M. Jean-Louis BORLOO, ministre de l'économie, des finances et de l'emploi ;
Mme Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales ;
M. Bernard KOUCHNER, ministre des affaires étrangères et européennes ;
M. Brice HORTEFEUX, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du codéveloppement ;
Mme Rachida DATI, garde des sceaux, ministre de la justice ;
M. Xavier BERTRAND, ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité ;
M. Xavier DARCOS, ministre de l'éducation nationale ;
Mme Valérie PÉCRESSE, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ;
M. Hervé MORIN, ministre de la défense ;
Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la santé, de la jeunesse et des sports ;
Mme Christine BOUTIN, ministre du logement et de la ville ;
Mme Christine LAGARDE, ministre de l'agriculture et de la pêche ;
Mme Christine ALBANEL, ministre de la culture et de la communication, porte-parole du Gouvernement ;
M. Eric WOERTH, ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique ;
M. Roger KAROUTCHI, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
M. Eric BESSON, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques ;
M. Dominique BUSSEREAU, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables, chargé des transports ;
M. Jean-Pierre JOUYET, secrétaire d'Etat auprès du ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
M. Martin HIRSCH, haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté.

Lancement de campagne


Muriel Marland Militello opta pour Pasteur pour sa première réunion publique, la 2ème circonscription c'est aussi des quartiers populaires, Sans langue de bois notre député aborda l'immigration et la sécurité mais aussi la santé et la jeunesse en général. Notre député a rencontré un réel succès auprès des jeunes. Les quartiers populaires oubliés a gauche ne le sont pas par nous.

Pique nique lors de la fête des Mai

Une journée trés niçoise avec pan bagnat, socca et soleil au menu. Le militantisme ne s'arrete pas le dimanche et c'est avec grand plaisir que nous nous sommes retrouvés avec nos beaux polos de campagne.





La France qui se lève tot !!!

Dés 6h nous étions sur le terrain, collage puis tractage au programme, avec une mobilisation et une motivation égale a la présidentielle, les jeunes savent bien que cette campagne est cruciale.
Bravo à Romain, Greg, Johann, Karine, Sophie, Camille, Marina, Vivien, Mourad, Sara, Elodie, Cyril, Alexis, Nicolas, Armand, Cedric, Cindy, Karine, Yann, Samantha pour votre mobilisation.




Après un café c'est reparti pour le tractage dans le quartier de la libération. Quartier ou grâce a sa ténacité notre député a obtenu par Nicolas Sarkozy la budgétisation d'un commissariat.







Notre tractage se termine à la place du Général De Gaulle ou nous croisons la candidate de l'opposition, avec seulement deux militants et pas l'ombre d'un jeune (sic!!!). Nous étions plus d'une vingtaine. Cela fait plaisir de constater que la dynamique de victoire est bien présente dans notre camp, tout autant que la dynamique de défaite dans l'opposition.










Les jeunes avec Muriel


De gauche à droite : Romain, Johann, Gauthier, Muriel Marland Militello,Vivien, Greg et Jonathan ..

Avant notre départ pour Marseille pour suivre notre futur président, longue journée mais nous avions le sentiment que la victoire n'avais jamais été aussi proche. Sans une majorité notre victoire n'aura servi a rien, votez muriel pour une majorité présidentielle.




De gauche à droite : Alexis, Nicolas, Sara (toujours présente sur le terrain), Sylvie, Auguste, Johann, Marina, Camille, Romain.

Ce jour la nous avions la chance de tracter sur la promenade des anglais, nous étions a 72H de la victoire....

Notre député au coeur de Nice


Votre député et son équipe se bat au quotidien pour votre qualité de vie et pour votre sécurité. La permanence vous est ouvert au 18 boulevard Joseph Garnier 06000 Nice .

L'affiche officielle de notre député.


L'affiche officielle de votre député Muriel Marland Militello qui se représente a la députation et de son suppléant Auguste Vérola.
Avec le nouveau slogan "Agir ensemble" qui symbolise la volonté d'action de notre député.


Voici les dates, horaires et lieux de nos réunions publiques dans la 2ème circonscription :

Lundi 21 mai - 18h30
Ecole élémentaire Pasteur mixte - 15, rue du Professeur Delvalle
Mardi 22 mai - 18h30
Ecole Thérèse Roméo Mixte I - 54, rue Dabray
Mercredi 23 mai - 17h
CSL Notre Dame - 18, rue d'Angleterre
Mercredi 30 mai - 18h30
Meeting à l'Hôtel Splendid - boulevard Victor Hugo
Jeudi 31 mai - 18h30
Ecole St Barthelemy mixte I - 17, avenue François Botteau
Vendredi 1er juin - 18h30
Ecole Fuon Cauda mixte II - 78, avenue St Lambert
Lundi 4 juin - 18h30
Restaurant "L'autobus" - 142, avenue de Gairaut
Mardi 5 juin - 18h30
Meeting au restaurant "Les Palmiers" - 1, avenue des Palmiers
Mecredi 6 juin - 18h30
Grand meeting au Théâtre de Verdure de Christian Estrosi, Muriel Marland-Militello et Eric Ciotti
Jeudi 7 juin - 18h30
Ecole Jules Ferry mixte I - 1, rue Jeanne Jugan
Vendredi 8 juin - 18h30
Bar-Tabac "Le Bergerac" - 25, avenue St Sylvestre
Mardi 12 juin - 18h30
Meeting "Chez Onnis" - 15, avenue Joseph Raybaud
Mercredi 13 juin - 18h30
Pub Valrose - 112, avenue St Lambert
Jeudi 14 juin - 18h30
Dernier grand meeting au CEDAC de Cimiez